Depuis, tant de pages ont été publiées qu’on ne les compte plus, et vous êtes actuellement plus de 25.000 à lire ce magazine qui est fait pour vous et avec vous. Parce que vous êtes de plus en plus nombreux à communiquer des infos, à dialoguer sur les espaces de discussions, à réagir et suggérer des thèmes d’articles.

Nous aimerions davantage encore vous donner la parole, en publiant vos actions et initiatives qu’elles soient personnelles ou associatives, rendant compte de vos activités ludiques, sportives, touristiques. La plume vous est offerte, prenez-la !

Et viendra certainement le jour où quelques grandes associations nationales mettront en accord leurs actes avec leurs paroles. Elle est révolue l’époque ou le directeur d’une association défunte tentait de constituer un « front du refus » de cette information directe et différente; l’histoire a montré qu’il aurait mieux fait de consacrer son temps et son énergie à sauver son établissement, désormais liquidé. On nous dit souvent « c’est bien ce que vous faites, il faut qu’on travaille ensemble », mais si le directeur d’une association nationale évoque des « préoccupations communes », cela ne va pas jusqu’à nous apporter un soutien matériel. Parfois, la réticence est ailleurs, comme ce responsable de la communication qui n’a pas trouvé cinq minutes depuis un an et demi pour mettre en route une collaboration éditoriale définie avec son directeur général. Quant à l’Agefiph, dont on sait tout le bien que l’on doit penser de l’altruisme de ses actions, elle a tout simplement refusé de contribuer au financement d’une actualité de l’emploi, condamnant la réalisation de ce projet et conservant ainsi son monopole sur l’information qu’il conviendrait de diffuser aux travailleurs handicapés.

Alors, en attendant le jour béni de la grande entente inter associative mise au service des personnes handicapées, nous continuons notre bonhomme de chemin avec tous ceux qui veulent ensemble affirmer : Y’a nous !

Laurent Lejard, janvier 2003.

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